Une adoption conforme

L’adoption animale peut se faire dans plusieurs centres. Tout de même, la plus connue est l’adoption à la SPA ou Société Protectrice des Animaux. La majorité des animaux de compagnie qui attendent une éventuelle adoption sont le chien et le chat. Dans ces centres, la sécurité émotionnelle et physique des animaux est une priorité à ne pas ébranler. De ce fait, chaque parent adoptif qui veut héberger un animal de compagnie se doit de remplir une fiche avant de rencontrer son futur fils ou sa future fille.

Le parent adoptif doit également fournir un justificatif de domicile original datant de moins de 3 mois, une pièce d’identité et un justificatif de revenu au centre SPA. Ces dossiers sont essentiels pour pouvoir vérifier et contrôler si le propriétaire de l’animal s’occupe bien du chat ou du chien. À la Société Protectrice des Animaux, le frais d’adoption d’un chien adulte sont de 250 € et de 300 € pour un chiot de moins de 6 mois. Celui d’un chat remonte à 150 €. Dans les trois cas, si l’animal est non stérilisé, vous devez payer 300 € pour un chèque de caution par rapport aux frais de stérilisation.

L’adoption d’un cheval

À la Société Protectrice des Animaux ou SPA, vous pouvez également adopter d’autres animaux à part le chat et le chien. Les dossiers de base sont les mêmes, mais les frais d’adoption diffèrent de ces deux animaux cités ci-dessus. Si vous avez toujours voulu avoir un cheval ou un poney, la SPA ouvre ses portes pour vous accueillir. Le frais d’adoption d’un poney incluant la vaccination et la stérilisation de l’animal sont de 300 €. Par contre, pour un mulet, un âne ou une mule, le frais d’adoption sont de 400 €. L’adoption d’un cheval adulte quant à lui est de 450 €. Tout de même, si vous souhaitez effectuer une adoption d’autres espèces d’animaux, d’un NAC ou s’il s’agit d’une adoption SOS, aucuns frais ne vous sera prélevé.

Les sites de vente de Berger allemand

Allez sur le web pour trouver un chiot berger allemand à vendre. Internet facilite l’achat de nombreuses races de chiens, dont les Bergers allemands. Une multitude de sites internet proposent de mettre en relation des éleveurs et des familles qui souhaitent en acquérir : priviligiez un site spécialisé qui s’engage clairement sur le contrôle des élevages inscrits. Il suffit de vous y rendre pour y trouver des centaines d’annonces, avec photos réelles d’adorables chiots ou d’adultes qui cherchent une famille d’adoption. Vous y trouverez certainement votre bonheur !

Pour être certain de trouver des éleveurs près de chez vous, activez les « cookies » de votre navigateur. Ou alors, précisez ce critère de recherche en sélectionnant votre ville, directement sur le site. Lors de l’achat du Berger allemand, n’hésitez pas à vérifier son carnet de vaccination pour être certain d’acheter un chien en bonne santé. Si ce n’est pas le cas, annulez la transaction. Dès que la transaction est effectuée, rendez-vous chez un vétérinaire pour vérifier l’état de santé de votre Berger allemand. Profitez de la consultation pour obtenir des conseils.

Les refuges

Les refuges pour chiens sont également un bon endroit pour trouver le futur Berger allemand de la famille. Ces organismes recueillent et soignent des chiens errants ou abandonnés pour ensuite les proposer à l’adoption. Vous y trouverez non seulement des Bergers, mais aussi d’autres races canines. Dans ces centres, vous n’aurez aucunement besoin de débourser une somme folle pour acquérir votre futur compagnon.

Il vous suffit de préciser la race de chien que vous cherchez à adopter. Les bénévoles du refuge se feront un plaisir de vous emmener vers la section dédiée aux Bergers allemands. Pour le reste, il vous faudra compléter quelques paperasses et vous pourrez rentrer à la maison.

Les chenils

Il est aussi envisageable d’adopter un chien dans un chenil. Ces institutions en gardent suffisamment en grand nombre pour que vous puissiez faire facilement votre choix. Toutefois, il faut parfois faire le tour de plusieurs chenils avant de trouver un Berger allemand. En effet, ces institutions ne sont pas spécialisées dans la capture d’une seule race canine.

Attention, les chiens de race des chenils peuvent avoir des propriétaires. Ainsi, il est possible que les employés ne puissent vous laisser adopter un Berger allemand, avant les 15 jours d’attente de réclamation. En effet, il faut encore attendre que le maître ne se manifeste pas avant de déclarer le dossier clos.

Les animaleries

Les « Dog Shop » sont des magasins de vente d’animaux, mais qui sont spécialisés dans les chiens de race. C’est l’un des endroits où vous serez sûr de pouvoir adopter un chiot Berger allemand ou encore un adulte. Les « Dog Shop » sont plus fiables, car les chiens qui y séjournent bénéficient d’un suivi médical régulier et possèdent des papiers en règle. Par ailleurs, les animaleries sont généralement annexées à un cabinet de vétérinaire pour un meilleur suivi de l’état de santé de leurs locataires.

Quelles croquettes pour un chat adulte normal ?

Un chat adulte normal, qui n’a pas de problème de santé spécifique, a besoin de croquettes riches en protéines. En général, pour maintenir votre chat en pleine forme, vous devez choisir des croquettes dont la proportion des matières premières se rapprochent des chiffres qui suivent :

•Protéines : minimum 40 %
•Glucides : entre 0 et 20 %
•Graisses : entre 15 et 25 %
•Cendres brutes : entre 5 et 10 %
•Calcium : entre 1 et 3 %
•Phosphore : 1 %
•Magnésium : 1 %
•Gluten : si possible 0 %

En optant pour des croquettes prémium ou ultra-prémium, vous serez certains de fournir le taux de protéines dont votre matou a besoin. La qualité des protéines est aussi importante. Si le taux de cendres brutes dépasse les 10 %, c’est que les protéines qui composent les croquettes sont de mauvaise qualité ce qui peut nuire à la santé de votre matou.

Quelles croquettes pour un chaton ?

Après le sevrage, il est tout à fait possible de donner des croquettes à un chaton pour l’aider à grandir et pour favoriser une croissance bien équilibrée. Pour ces tout petits félins, il faut des croquettes chatons ou des croquettes juniors. Ces dernières contiennent assez de vitamines et de minéraux pour favoriser la croissance de votre matou. À cela s’ajoutent des antioxydants et des omégas.

Pour compléter les besoins de votre petit animal, offrez-lui des croquettes riches en protéines et pauvres en céréales, voire même sans céréales. Vous pouvez trouver ce genre de croquettes sur Pro-Nutrition, par exemple. Sachez qu’il existe aussi des croquettes spécifiques pour les chats stérilisés. Ces dernières sont peu caloriques pour éviter un problème de surpoids.

Quelles croquettes choisir pour un chat stérilisé ?

Un chat stérilisé a besoin de très peu de calories comparé à un chat non stérilisé. Les besoins de calories pour un chat stérilisé diminuent de 20 %. Il est donc important de choisir des croquettes qui correspondent à ces besoins pour éviter un surpoids qui peut causer par la suite des problèmes cardiaques, respiratoires, des difficultés pour le toilettage, etc.
Les croquettes spéciales pour chat stérilisé ont aussi été conçues avec des composants bien dosés pour éviter que le chat ait faim en permanence. À titre d’information, les besoins énergétiques de ce type de chat sont de 40 calories par kilo. Si votre chat pèse par exemple 5 kg, l’ensemble de ses nourritures (secs et humides) doivent tourner dans les 200 calories.

Quelles croquettes pour un chat senior, un chat sensible ou allergique et un chat qui a des problèmes urinaires ?

Outre les chatons et les chats stérilisés, il y a d’autres catégories de chats qui ont besoin de croquettes spécifiques. C’est le cas des chats séniors, sensibles ou allergiques, ou encore des chats qui ont des problèmes urinaires.

Croquettes pour chats séniors

Pour un chat senior, l’idéal, ce sont des croquettes avec un faible taux de minéraux et un taux d’arginine plus élevé. Cela permet de limiter l’apparition d’une maladie cardiaque et/ou respiratoire.

Croquettes pour chats sensibles ou allergiques

Pour un chat sensible ou allergique, mieux vaut choisir des croquettes hypoallergéniques. Il faut aussi des croquettes sans gluten de maïs. Après, le choix des composants dépend de l’allergène qui provoque les troubles chez votre chat. Étudiez la source de l’allergie par exemple et bannissez toutes les croquettes qui en contiennent.

Croquettes pour les chats qui ont des problèmes urinaires

Pour ces chats, il faut des croquettes qui contribuent au contrôle du pH urinaire. Ces croquettes doivent aussi apporter la dose de minéraux adéquate. Après, il est impératif de choisir des croquettes de qualité et faire boire beaucoup d’eau à votre chat.

Où vivent les cygnes noirs et de quoi se nourrissent-ils ?

Les cygnes noirs viennent de Tasmanie (Australie). Ils ont été aussi introduits en Nouvelle-Zélande et puis en Europe vers le XIXe siècle. Le cygne noir est en fait l’emblème de l’Australie occidentale. Ils sont plus petits que les cygnes blancs, car leurs envergures peuvent atteindre entre 1 min 10 s et 1 min 40 s. Le mâle pèse de 4 à 8 kg, et se différencie de la femelle grâce à son bec. En effet, le bec de la femelle est un peu plus terne que celui du mâle. Ce dernier a également un plumage plus pâle et un bec rose. Concernant leurs alimentations, les cygnes noirs sont omnivores, et pourtant on peut dire que leurs côtés herbivores sont plus dominants. Ils se nourrissent principalement de plantes aquatiques comme les algues et les lentilles d’eau. D’ailleurs, ces anatidés ne se sentent pas à l’aise sur la terre ferme grâce à leur courte patte. Aussi, ils aiment brouter de l’herbe. On peut tout de même les nourrir avec des graminées et des céréales. Par ailleurs, ils sont très agressifs lorsqu’on s’approche de leur nid.

Les endroits adéquats pour son habitat naturel

Les cygnes noirs sont des espèces d’oiseaux monogames. Une fois qu’un mâle et une femelle s’unissent, il faut dire que c’est pour la vie. Ils s’accouplent seulement en saison de pluie. Pendant une longue sécheresse, ils restent sur la terre ferme en choisissant la proximité d’un lac ou dans les zones humides. Ils construisent alors leur nid avec de l’herbe, des tiges et des brindilles. Leur nid peut atteindre également deux mètres de diamètre et une hauteur de plus de 40 cm. Ils y couvent jusqu’à 6 œufs, en alternance, environ 40 jours. Juste après l’éclosion, les petits quittent leur nid pour aller dans l’eau. Bien évidemment, les parents les surveillent.

Adapter l’alimentation en fonction de la saison

Tout d’abord, sachez que le lapin est un animal fragile. Il faut donc le traiter avec soin et prudence. De plus, comme tous les animaux, il possède des caractères spécifiques.

Le lapin privilégie certains aliments à d’autres selon la saison. Par exemple, durant l’hiver, il préfère davantage les pommes de terre cuites, toutes les nourritures à base de foin, l’avoine et l’orge. En revanche, durant l’été, l’automne et le printemps, donnez-lui des carottes, des feuilles de salade tendres, des choux, des céleris ainsi que de la luzerne.

Faites tout de même attention au changement brusque de son régime alimentaire. Cela peut être évité si vous surveillez bien la quantité de l’alimentation quotidienne de votre lapin.

Connaître la base de l’alimentation du lapin

Le lapin est à 100 % herbivore. Le choix de respecter ce mode d’alimentation saine et de bonne qualité lui permet de rester en bonne santé. Ainsi, vous pouvez lui donner du foin à volonté, mais aussi de l’herbe, des fruits, des légumes comme les carottes, les navets et les endives. Optez aussi pour les aliments riches en fibres et granulés. Veillez à bien régler la quantité d’aliments que vous lui donnez, sinon cela peut déclencher des diarrhées.

Ajuster la nourriture à son environnement

Le lapin est un animal de nature curieuse, d’autant plus qu’il aime courir et faire des sauts sur des points élevés. Ainsi, si vous sortez votre lapin, Il est nécessaire de le surveiller de près et de veiller à ce qu’il trouve de la nourriture partout où il va courir.

Revoyez aussi l’accessibilité de ces aliments de manière à ce qu’il puisse les manger facilement. L’astuce est de toujours les découper de manière angulaire, ainsi, ils ne roulent pas sur terre quand le lapin veut les avaler.

Les critères pour suivre une formation assistant vétérinaire

Il faut être un vrai passionné du domaine animalier pour se lancer dans une Formation d’assistant vétérinaire. Il aura des contacts réguliers avec tout type d’animal et s’attellera à leur toilettage et à leur éducation. L’assistant devra être une personne sociable et responsable, une personne qui sait garder son calme et son sang-froid en toutes situations car il peut être confronté à des situations d’urgence ou à la mort d’un animal dont il aurait pris soin.

D’ailleurs, les animaux sont souvent apeurés lorsqu’ils arrivent chez le véto. Pour ce métier, il faut toutefois être réactif et avoir une bonne aisance rédactionnelle. L’âge requis pour une formation assistant vétérinaire est de 18 ans. Ce métier concerne tant les hommes que les femmes. En France, l’on compte environ 7000 assistants vétérinaires dont la majorité est féminine.

Le métier d’assistant vétérinaire : quel parcours ?

Les formations d’assistant vétérinaire se départagent en 3 catégories : formation pour être un « auxiliaire de santé animale » (ASA), formation pour être un « auxiliaire spécialisé vétérinaire » (ASV), ou formation pour devenir un « auxiliaire vétérinaire qualifié » (AVQ). Chacune d’entre elles prévoit des modules généraux et des options de spécialisation. Leur différence se situe au niveau des certificats obtenus et de la rémunération.

La première peut s’effectuer en physique ou en ligne via des sites agréés. Il s’agit d’un parcours accessible pour les nouveaux bacheliers ou pour ceux qui ont le désir de se reconvertir professionnellement. La fin de formation est marquée par la remise d’une certification.
La formation ASV ouvre les portes vers les centres hospitaliers vétérinaires. Le récipiendaire du diplôme sera inscrit au RNCP avec un titre de niveau IV parmi les emplois de la Convention Collective des salariés non vétérinaires.

Le diplôme d’AVQ se prend avec un niveau BEP ou un CAP. La formation dure une année et deux années en alternance. Il faut par ailleurs avoir effectué une seconde générale avec passage en 1re accordé. Pour cette formation, des enseignements à distance sont aussi disponibles.

Que fait l’assistant vétérinaire ?

Durant la formation d’assistant vétérinaire, les principales matières à retenir sont la gestion, le secrétariat et les soins médicaux à allouer aux animaux (animaux de compagnie, serpents, etc.) Durant ces modules, il sera enseigné les différentes méthodes pour recevoir les clients au téléphone. Il sera aussi appris les moyens de conseiller efficacement les propriétaires des animaux, notamment sur la manière de prendre soin de leur animal.

D’autres cours sont réservés à l’organisation du planning du vétérinaire, au classement des dossiers, au suivi de stock, à la comptabilité. Au même titre que l’infirmier, la formation pour devenir auxiliaire vétérinaire comprend l’apprentissage des gestes de premiers secours pour un animal malade ou blessé, les soins basiques comme la préparation de bloc chirurgical, la prise en charge des perfusions et pansements ainsi que le suivi des monitorings, etc.

Finalement, durant la formation, l’initié apprendra les valeurs morales de la profession notamment la déontologie ainsi que les responsabilités y afférentes. En effet, tout comme le vétérinaire, l’assistant sera soumis aux mêmes réglementations et sera par exemple soumis au secret professionnel.

On l’avisera de tous les risques du métier que ce soit vis-à-vis des matériels utilisés ou ceux auxquels il doit s’attendre en s’occupant des animaux. A cela s’ajoutent les informations légales qui s’appliquent à la profession. Une fois en exercice, l’assistant vétérinaire gagne 1600 € brut auprès des établissements vétérinaires où les spécialisations peuvent être canines, mixtes (animaux de rente, bovins) ou NACS (tortues, serpents…).

Les critères de rémunération d’un vétérinaire

En effet, le métier de vétérinaire paye bien en 2022. Cependant, les sommes citées ci-dessous sont soumises à plusieurs critères dont :

– Le niveau d’études : plus vous avez de diplômes, plus vous avez la possibilité de demander un salaire au-dessus de la moyenne. Le tout est de pouvoir le justifier avec des attestations.

– L’expérience : un vétérinaire débutant gagnera moins qu’un autre ayant plus d’une dizaine d’années d’expérience.

– Le type d’établissement : travailler pour un organisme international est plus rentable qu’une clinique privée.

Le salaire d’un vétérinaire

En moyenne, le salaire d’un vétérinaire en cabinet ou dans les cliniques vétérinaires est de 2 000 € brut mensuel. Ce chiffre est susceptible d’évoluer, selon la politique salariale du cabinet pour lequel il exerce. Raison pour laquelle, il est vivement recommandé de lire les clauses du contrat avant de le signer.

De nombreux vétérinaires préfèrent se lancer dans l’entrepreneuriat. Ces structures privées sont plus rentables et permettent aux jeunes de participer à la création d’emplois dans le secteur. Dans ce cas de figure, le salaire des fondateurs peut s’élever à 200.000 € brut à l’année. Le niveau de rémunération dans les établissements pour vétérinaire se situe entre 1 700 € et 3 500 € brut mensuel.

La politique salariale des structures associatives est différente des cabinets privés. De ce fait, le niveau de salaire varie d’une structure à l’autre, et n’est pas divulgué aux yeux du public. Cependant, si le vétérinaire accepte les voyages, il peut percevoir des primes de risque qui sont très attractives.

Bovidés pour la viande : quelles races choisir ?

De bonne entrecôte en sauce et du couscous, voilà un plat digne de la fête des Mères. Pour en arriver jusque-là, il faut que les veaux prédestinés à la consommation grandissent et deviennent des zébus. Il faut savoir que toutes les races ne sont pas destinées à la consommation, ce sont principalement les vaches ayant allaité qui ont la chair tendre et savoureuse. Les races les plus convoitées des éleveurs sont :
– La limousine
– La Gasconne
– La Mirandaise
– La Charolaise

Quelles sont les races de vache laitière ?

Si les races rustiques et les races traditionnelles sont élevées pour leur viande, les vaches laitières sont quant à elles, élevées pour leur lait. En France, comme partout en Europe, les races les plus répandues de cette catégorie sont :
– La Prim’Holstein autrefois appelée la Française frisonne de pie noire
– La Bordelaise
– L’Abondance
– La vache rouge flamande
– La Jersiaise
– La Béarnaise
Tout bon éleveur doit savoir que la capacité de production d’une vache laitière dépend agilement de son alimentation, il faudrait donc trouver l’alimentation qui convient à chaque race.

Bonus : pourquoi opter pour les races de zébus mixtes ?

Le but de tout éleveur est d’accroître son exploitation, mais surtout son cheptel. Sans oublier le but financier qui est de réaliser encore plus de bénéfice chaque année. Pour cela, il faut sélectionner les meilleures races qui existent. Puisqu’il s’agit d’investissement, l’idéal est d’opter pour des vaches qui seront à la fois destinées à devenir de la viande consommable, mais également qui seront d’excellentes vaches laitières.

Les besoins nutritionnels d’un bichon maltais

Bien que petit, le bichon maltais est particulièrement robuste, surtout si son alimentation est adaptée. Cependant, sa race est sujette au développement d’une maladie congénitale. Pour soulager les symptômes, une alimentation saine peut suffire. Une alimentation avec un apport en glucides raisonnable évite à la fois l’hypoglycémie et le surpoids.
Pour son hygiène dentaire, il lui faut un brossage régulier. Une alimentation à base de croquettes sans céréales pour chien permet également de lutter contre le dépôt de tartre. De plus, les croquettes répondent aux besoins nutritionnels des bichons maltais. Elles se conservent plus longtemps que les pâtées pour chien. Privilégiez les croquettes premium, car elles sont issues d’aliments de qualité. En effet, les gammes bon marché sont souvent trop grasses. Elles sont néfastes sur le long-terme et favorisent les risques d’obésité.

Une alimentation maison pour les bichons maltais

Avec une alimentation maison, on peut choisir les bons ingrédients pour son chien. On peut également se passer de tous les additifs retrouvés généralement dans une alimentation industrielle. Elle offre une bonne qualité nutritionnelle et parfaitement digeste pour lui. La nourriture-maison d’un bichon maltais comprend de la viande, cuite ou braisée. On peut également lui donner du poisson cuit, débarrassé des arêtes. Il faut y ajouter du riz cuit ainsi que des légumes verts tels que des haricots, des poireaux, des carottes, etc. La quantité de riz et de légumes doit être égale. Une fois par semaine, on peut donner un œuf cuit.
En revanche, une alimentation-maison composée de viande, de riz ou de légumes ne suffit pas à couvrir tous les besoins nutritionnels d’un bichon maltais. Il est alors conseillé de compléter la ration quotidienne avec un complément minéral vitaminé. Il ne faut pas oublier de lui donner à boire, car les chiens sont très sensibles à la déshydratation.

La quantité de croquettes à donner à un bichon maltais

La taille moyenne d’un bichon maltais est de 23 centimètres. Le poids idéal est de 3,5 kilos. La quantité de croquettes standard pour un bichon maltais est de 60 grammes, servie en deux rations. Si votre chien est stérilisé, il est recommandé de diminuer la quantité de croquettes à environ 48 grammes par jour. En revanche, si votre chien est très actif ou qu’il se dépense toute la journée, il vaut mieux augmenter sa ration à 78 grammes de croquettes.
L’idéal est de lui donner des croquettes chien sans céréales. Retenez bien que les chiens sont originellement des carnivores. Leur régime alimentaire ancestral est basé sur la viande. C’est la raison pour laquelle il est préférable de lui donner des repas plus riches en protéines animales. En effet, l’appareil digestif d’un chien n’est pas adapté à la digestion d’une alimentation riche en céréales. Les protéines d’origine animale apportent des acides aminés essentiels au bien-être et à la vitalité de votre bichon maltais.

Bien choisir les croquettes pour un bichon maltais

Si vous voulez donner une alimentation saine et équilibrée, le choix des croquettes est primordial. Les besoins des chiens ne sont pas les mêmes, selon son âge, sa taille et son niveau d’activité. Les croquettes apportent le bon dosage, évitant ainsi tout risque de carence ou d’excès.
La qualité de matières premières utilisées est importante, car elles sont plus digestibles. Cela permet une assimilation quasi-complète des nutriments par le bichon maltais. Certes, les croquettes chien sans céréales premium coûtent plus chères. Cependant, une bonne alimentation limite les risques de maladies liées à l’obésité, à la croissance ou encore à la vieillesse. De nombreux désagréments peuvent survenir à cause d’une mauvaise alimentation telle que la perte de poils, etc.

Un collier pour marquer la propriété d’un animal de compagnie

Bien plus que pour le style, le collier pour chien permet de l’identifier et d’en prouver la propriété. Chose qui sera nécessaire notamment si vous comptez prendre une mutuelle santé pour votre animal de compagnie.
Pour ce genre d’accessoire, le choix n’est qu’une affaire de goût. Sur https://animallovers.fr/collections/collier-grave-chien-animal-lovers, le collier pour chien peut être en cuir ou en tissu, avec ou sans motif et disponible en une large variante de couleur et de style. On vous conseille les accessoires avec une boucle de ceinture comme fermoir. Ils sont plus chics et plus simples à utiliser. Souvent accompagné d’un pendentif, ce genre de collier apporte un certain style à votre animal de compagnie. Vous pouvez également le personnaliser en y mettant le nom de votre boule de poil.

Un collier pour vous aider à le dresser

Pour les jeunes chiots qui nécessitent encore un long travail de dressage toutefois, il faudra un collier spécial. Ce sont des accessoires qui disposent généralement d’un système de décharge électrique quand le chien ne respecte pas certaines règles. Tel est le cas par exemple s’il sort d’un certain périmètre et tente de s’enfuir ou encore quand il aboie au-delà d’un certain décibel, etc.
Selon les professionnels du dressage, cependant, il ne faut pas abuser de ce genre de dispositif sur vos animaux de compagnie. Ils peuvent s’habituer aux punitions et le dressage ne sera plus efficace. Sans compter que cela peut être considéré comme inhumain.

Un collier intelligent : la nouvelle tendance du moment

Une nouvelle tendance a également vu le jour pour les chiens : le collier intelligent. En plus d’être plus esthétique et plus moderne, ce genre d’accessoire embarque une puce GPS qui permet de trouver simplement et rapidement vos chiens en cas de fugue. Les modèles les plus haut de gamme permettent même de suivre l’activité de votre animal de compagnie et son état de santé en général. Ce qui facilite les visites chez le vétérinaire par la suite. Ce petit bijou high-tech coûte tout de même la petite bagatelle de 200 euros minimum.

Un collier spécial pour les traitements contre les puces et les tiques

Votre chien a des problèmes de tiques et de puces ? Vous en avez marre des pilules et des traitements classiques qui nécessitent une intervention ponctuelle de votre part ? Vous pouvez opter pour le collier vermifuge. C’est un accessoire à fixer autour du cou de votre animal et qui diffusera en permanence des traitements, et ce, pendant plusieurs jours. Il ne coûte qu’une centaine d’euros environ en fonction des marques et de la gamme. Comme il s’agit d’un dispositif médical, il peut toutefois être pris en charge par certaines mutuelles de santé pour chien.